Depuis le 1er septembre, le magazine Challenges affiche sa différence. il passe de quinzomadaire et devient hebdo avec une parution le jeudi et un contenu plus incisif composé de rubriques Confidentiel, Evénement, Coulisses du pouvoir et des enquêtes et interviews exclusives sans complaisance. Exemples »Bouyges s’attaque au nucléaire » (Edition du N°1 du 1.09.05) ou l’interview de Bill GATES (N°6) qui maintient sa vision, »la même depuis que j’ai 17 ans: un ordinateur qui pourrait voir, entendre, trouver de l’information sûr ,rapide et sympa à utiliser » et révèle les prometteuses capacités de la reconnaissance vocale.
Ce dossier est à la une de Challenges. Quand Bill Gates prend la pose »Drôle dendroit pour une rencontre. nous retrouve, escorté de son garde du corps, sur le toit du Safeco Field, le stade de base-ball de Seattle, où il vient de parler devant quelque 17 000 salariés. A la demande de ses conseillers, le patron de Microsoft a enfilé une veste pour les besoins dune séance de photos, à laquelle il se livre silencieusement il déteste cet exercice, quil trouve futile. Est-ce lépreuve de lobjectif, le reliquat du stress de sa prestation scénique, le journaliste qui tarde à sortir son stylo ?
Bill Gates paraît légèrement tendu au début de lentretien. Son pied bat nerveusement le sol. Il se détend, au bout de quelques minutes, se balance davant en arrière sur sa chaise pour trouver la concentration. Le ton se fait plus convivial, presque complice. A 49 ans, lhomme le plus riche du monde a gardé son rire dadolescent. Au grand dam de sa porte-parole, Bill déborde légèrement sur le temps qui nous est imparti. Quatre minutes de rab
pour le plaisir des lecteurs de Challenges ».
Dans les kiosques jusqu’au 12 Octobre 2005 et en ligne intégralement pour les abonnés:
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