A l’occasion de ses dix ans, LaRevueDurable édité en Suisse a décidé de renoncer à la vente en kiosque pour la vente en ligne de l’ensemble de ses dossiers, interviews et articles sous format numérique depuis un site internet efficace. Dix ans de savoir encyclopédique d’excellente qualité sur l’écologie et la durabilité seront ainsi facilement accessibles. Plus radical, le magazine Londonien Time Out*** consacré à la vie culturelle, opte pour la gratuité totale pour augmenter sa diffusion et ses revenus publicitaires. Deux stratégies différentes pour faire face à la crise de la presse mais le même combat pour progresser. Domoclick.com vous présente ce face à face et les solutions qui vont avec !

Federico Butera, professeur d’architecture livre les règles urbanistiques qui permettent de réduire fortement la facture énergétique des villes

Encore rentable malgré la baisse de ses ventes, Time Out anticipe les difficultés financières en faisant fait le pari du gratuit. Les espaces publicitaires de la nouvelle formule seront vendus trois fois plus chers, pour un tirage multiplié par six et une pagination réduite.

Le célèbre « city guide » répertoriait dans son dernier numéro plus de 18.000 événements à l’affiche dans la capitale britannique. Depuis son lancement en 1968, il a essaimé dans 37 capitales. Pour l’instant les autres éditions restent payantes.

Cette décision des éditeurs de Time Out s’inscrit dans un mouvement de fond en Grande-Bretagne, où la presse gratuite continue son développement y compris avec le quotidien à gros tirage du soir, l’Evening Standard, qui a réussit son lancement gratuit, désormais très rentable avec la publicité vendue plus chère.

La Revue Durable suisse tente ainsi de co-financer son nouveau site internet de manière citoyenne
Ceci afin de générerer de nouveaux revenus pour asseoir l’indépendance de LaRevueDurable. L’accès sera aussi, pour la première fois, gratuit pour l’Afrique francophone. Le choix du financement participatif pour ce nouveau site est un moyen de faire vivre une option fondamentale que LaRevueDurable met en avant : la finance solidaire qui fait appel aux ressources des personnes qui ont les moyens – petits ou grands – de soutenir des projets porteurs de sens. L’accès sera, pour la première fois, gratuit pour l’Afrique francophone.

L’enjeu est vital pour l’équipe éditoriale qui espère ainsi collecter les 18 000 euros (22 000 CHF) nécessaires à ce projet via le financement participatif. L’objectif est d’accroître l’ indépendance financière en faisant vivre une option fondamentale que LaRevueDurable met en avant : la finance solidaire qui fait appel à celles et ceux qui ont les moyens – petits ou grands – de soutenir des projets porteurs de sens.

> Pour connaître tous les détails de ce projet et apporter votre contribution, vous pouvez vous connecter sur la plate-forme française de financement participatif kisskissbankbank : www.kisskissbankbank/larevuedurable

> Pour nos lecteurs et amis en Suisse, il est aussi possible de nous soutenir directement en faisant un virement (en francs suisses) sur le compte des Amis de LaRevueDurable
N° 25 01 126.400-09 _ Banque Cantonale de Fribourg, 1701 Fribourg, Suisse
IBAN: CH16 0076 8250 1126 4000 9

Nos lecteurs et amis en France peuvent aussi envoyer un chèque, à l’ordre de Cerin Sàrl, à l’adresse :LaRevueDurable
Rue de Lausanne 23
1700 Fribourg (Suisse)

Merci de votre indispensable soutien pour réaliser ce projet décisif qui permettra d’affronter la deuxième décennie de notre existence. Signé: Susana Jourdan, Jacques Mirenowicz et toute l’équipe de LaRevueDurable

REJOINDRE DES FINANCEURS DURABLES
http://www.kisskissbankbank.com/larevuedurable-un-nouveau-site-pour-dix-ans-de-savoirs-sur-l-ecologie

*** Time Out
http://www.timeout.com/

Domoclick.com

DOSSIER de la SPGII: Dix ans de presse gratuite d’information quotidienne

http://www.lapressegratuite.com/2012/10/dossier-dix-ans-de-presse-gratuite-dinformation-quotidienne.html

Le dossier « Energie : les territoires sur la voie de la transition »
Préparer l’avenir, c’est sortir au plus vite de l’ère éphémère du pétrole et, d’une manière générale, des énergies fossiles. Or, entre la myopie des Etats et du monde de la finance sur ce chapitre et l’inaptitude des actes individuels seuls à répondre à un défi d’une telle envergure, il y a de la place pour le désespoir… ou pour un vaste mouvement social fondé sur un autre mode de vie et capable d’en faire l’horizon commun.

http://www.larevuedurable.com/editions/38.1.php#11